Prénom(s) : Stollvor dit "Shawn" • Nom : Harrington • Date de naissance : 987 • Âge : 17 ans d'apparence, 1026 ans réels. • Métier / Études : Voleur, guerrier et tueur à gages. • Statut social : Célibataire • Orientation sexuelle : Hétérosexuel • Groupe : Vampires • Avatar : Ash Stymest

Caractère ------------------------- Stollvor a toujours été quelqu'un de borné et de fier, il n'abandonne jamais rien et ne se plains pas, tout comme il n'avoue que très difficilement ses faiblesses. C'est quelqu'un d'impulsif, parfois il fait des choses sans réfléchir et il lui arrive de regretter ces actes. C'est également quelqu'un de particulièrement lunatique, on pourrait même le croire schizophrène parfois, il peut passer de l'homme brutal, qui tue quelqu'un de sang froid, à l'ami attentionné et dévoué capable de jouer avec un bébé sans le mordre ni s'énerver. Il peut être très blagueur et rieur comme renfermé et bougon. Il faut tomber sur le bon jour en somme.On peut dire aussi qu'il est particulièrement vulgaire parfois bien qu'il sache aussi bien se tenir, mais il ne faut pas trop le chercher en général.

Quelques Questions ------------------------- QUESTION 1 : Avez vous connaissance du surnaturel ? Si oui comment l'avez vous appris ? JE suis un être surnaturel ! Donc oui, bien sur j'en ai conscience. Je l'ai appris il y a plus de mille ans, lorsqu'Allegria est venue à moi et a tordu une épée forgée dans mon village à la simple force de ses poignets avant de me transformer en vampire à mon tour. J'ai ensuite pu découvrir les différentes autres créatures surnaturelles à ses côtés. QUESTION 2 : Connaissez vous le vampire originel ? Si oui, comment ? Vaguement, je n'en connais que ce qu'Allegria m'en a dit et ça m'a suffit pour fuir cette vieille momie en courant . QUESTION 3 : Depuis quand êtes vous en ville ? Depuis quelques jours à peine (vous pourriez quand même me laisser arriver au lieu de me sauter dessus comme ça, bande de sangsues !), je viens retrouver ma créatrice, Allegria. QUESTION 4: Que pensez vous des meurtres qui commence à se multiplier ? Honnêtement j'en ai rien à carrer. Je savais même pas qu'y avait des meutres en ce moment. Le seul truc qui pourrait me faire chier c'est que papy Caillus retrouve la trace d'Allegra. Je serais obligé de lui faire sa peau   .

Derrière l'écran

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• Surnom : écrire ici • Âge : 19 ans • Comment avez vous connu le forum ? : Sur Bazzart • Comment trouves tu le forum ? : Beau comme une courgette dans un jardin. (C'est dire.) • Avez vous autre chose à rajouter ? : écrire ici • Code règlement : Validé par Allegria. (BITCHES   )

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Once upon a time

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Le premier souvenir que j'ai remonte à mes cinq ou six ans. Nous étions en l'an 992 et j'étais le fils du Konungar, le grand chef du clan. Ah oui, au fait, je suis un viking. Vous savez le genre pas sympa, qui défonce tout et tout ça. Non, je rigole, ça c'était mon père. Et qu'est-ce que je l'aimais ce pourri. Ouais, je l'admirais, c'était un dieu vivant pour moi. Il était fort, puissant, il avait tout, il gagnait toutes les batailles. Mon rêve ultime c'était de lui ressembler. Si j'avais su...
Bref, on parlait de mon premier souvenir. J'étais donc un gamin et j'étais dans la fôret avec ma soeur que tout le monde appelait Didda, surtout moi qui n'arrivait pas à prononcer son vrai prénom. On jouait à la guerre (comme toujours dans cette tribu de merde, pour être poli.) et elle me maîtrisait sans problème (là aussi comme toujours, ma soeur était une vraie guerrière) avec son bâton. Cette peste commença à se moquer de moi et ça continuerai pendant encore plus de douze ans.
Bon avant toute chose, pour ma défense vous devez savoir qu'on m'a toujours détesté. Faut les comprendre, j'étais pas un viking pur sang. J'étais le bâtard du Konungar et d'une thraell, une esclave en gros. Mon connard de père a donc couché avec, la pauvre s'est retrouvée enceinte et est ensuite morte en couche. Mon père a essayé de me tuer mais il s'est fait surprendre par sa Husfreyja, sa femme. Il devait lui rester un petit semblant d'humanité dans le coeur parce qu'elle l'a convaincu de pas me balancer à la flotte. Il m'a donc confié à elle et lui a dit de m'élever. Je n'ai bien sur jamais été blond, donc j'étais une sorte de... pièce rapportée dont personne ne voulait réellement. Je n'ai jamais développé la musculature d'un viking traditionnel ce qui m'a encore plus porté préjudice. Forcément, j'étais mince comme un bâton et pas énorme comme un ours. Le pire dans tout ça c'est que j'espérais toujours qu'on me laisserait faire mes preuves et leur prouver à tous que si je n'avais pas les muscles saillant comme eux, ça ne voulait pas dire que j'étais faible mais bien sur on ne m'a jamais laissé partir avec les hommes, on me laissait toujours avec les femmes. Je me suis pris pas mal de coups de poings sur le coin de la tronche en voulant défier quelqu'un pour pouvoir partir mais je n'abandonnais jamais. Je voulais devenir un Hovding comme mon père, et un jour récupérer sa couronne de Konungar. J'étais vraiment con, j'avais pas réalisé qu'un bâtard comme moi serait jamais considéré comme Konungar, je serais le fils méprisé pour l'éternité. Je n'ai jamais eu de petite amie de mon vivant. Bon, certes je suis mort tôt mais à l'époque on avait des "amies" tôt aussi. Je n'ai jamais eu d'amis non plus maintenant que j'y pense. Je n'avais que cette salope de grande soeur (si, si, je vous jure qu'elle mérite ce qualificatif) qui ne faisait que me pourrir la vie.
C'est lors d'une froide soirée d'hiver que me vie changea. Enfin.. Je pense qu'on peut dire que je suis mort en fait. La journée s'était passée aussi normalement que possible, on m'avait encore refusé une escapade en mer avec les guerriers du clan, et merde, j'avais dix-sept ans ! J'étais donc, pour la millième fois au moins, resté au village pendant que tous les hommes plus ma soeur, qui, Madame, avait le droit de partir en expédition parce qu'elle était une guerrière hors pair soit-disant, partaient à l'aventure. Ils m'avaient humilié une dernière fois avant de partir, bien sur, en me faisant trébucher dans la bouillasse dégueulasse près de la maison de Horst et en me répétant que j'étais faible et ils s'étaient barrés. Comme ça, comme toujours. J'étais devenu l'apprenti du forgeron. En grande partie parce que j'étais un des seuls hommes qui restait au village et qui pouvait se servir de ses deux mains et de ses deux jambes. J'étais pas trop nul pour ce métier, ce qui me rendait fier. Je faisait au moins un truc de bien. A la nuit tombée, j'étais allé dans la fôret. Ouais comme dans tous ces films d'horreur à la con ou le personnage principal est toujours un gros débile qui va au pires endroits à minuit pile. Sauf que là j'avais une bonne raison, une des femmes était en train d'accoucher et ses hurlements laissaient un joli aperçu de l'horreur qu'elle vivait, je n'avait pas envie de polluer mes pensées méga-pures avec ce genre de truc super gore. Bref, tout ça pour dire que je marchais comme le pauvre mec sans but que j'étais vers.. Ben vers nulle part. Et LA, vous croirez jamais ce qui m'est arrivé. Non, sérieux. La plus belle femme que j'avais jamais vue est apparue comme une fée devant moi. Je me souviendrait toujours de sa magnifique robe d'un rouge éclatant, je n'avais alors jamais vu de telle robe, toutes les femmes portaient des robes sobres, sur lesquelles on ne voyait pas la saleté s'accumuler. La sienne était tout simplement comme neuve et magnifique. Elle mettait chacune de ses formes en valeur et accentuait le contraste avec sa peau d'un blanc d'albâtre et ses longs cheveux blonds clairs. Lorsque je remontais mes yeux vers les siens, je fus comme hypnotisé par ses grands iris d'un doux vert d'eau. Elle s'approcha lentement de moi, sans me quitter des yeux, je pouvais sentir son parfum de violette qui m'envoutais lui aussi. J'eus l'impression, pendant une fraction de secondes, que j'étais important, que cette femme était là pour moi, que je n'avais vécu toute ma vie que pour vivre ce moment bien plus qu'intense et que je pouvais mourir tranquille. Et puis je me suis rappelé qu'en fait j'avais absolument aucune envie de mourir et que j'étais qu'un putain de faible.

- Je sais qui tu es, murmura-t-elle à mon oreille, et je sais ce que tu crois être. C'est faux. Tu es plus fort que n'importe lequel de ceux qui te maltraitent, et je peux t'aider à le leur montrer.

C'est à ce moment là que j'ai compris que je rêvais et j'ai éclaté de rire. La femme m'a regardé avec perplexité.

- Et comment vous feriez ? demandais-je d'un air absolument pas convaincu (ce que j'étais.)

Sans me quitter des yeux, elle tendit la main vers le fourreau où j'avais gardé mon épée. Ben quoi ? J'avais le droit de rêver au jour où je pourrais m'en servir !

- Donne moi ton épée.

Avec scepticisme, je sortis l'épée de son fourreau. Et si je lui filais et qu'elle me butait avec ? Ce serait le comble de la vie merdique ça.. Je lui donnais néanmoins l'épée, pommeau en avant, histoire d'éviter qu'elle se blesse, parce que ça ce serait le comble du gros débile mental qui transperce la plus belle femme du monde avec son épée. Elle la prit doucement et mis sa main sur la lame, je faillit protester pour lui dire qu'elle était très affutée, c'était une épée viking quand même, pas un couteau à beurre ! Mais je n'en eu pas le temps. Elle tordit la lame de mon épée comme si c'était un vulgaire carambar resté en pleine chaleur, parce que tout le monde sait que les carambars au frais son méga-durs. Bref, tout ça pour dire que j'en aurais avalé un ruche entière de mouches (comment ça les mouches ça vit pas dans des ruches ?).

- Apprenez moi à le faire ! dis-je, des étoiles plein les yeux.

Bien sur, tout a un prix. Elle se servit de l'épée pour s'entailler le poignet (Oui, sur le coup, moi aussi je me suis dit que cette fille était barge) et elle me demanda de boire son sang. Je devins aussitôt méfiant, la magie du sang est très puissante, du moins c'est ce qu'on disait au village. Et elle était parfois maléfique. Qui savait ce qu'elle allait me faire d'ailleurs. Je vit à son expression qu'elle commençait à être agacée que je ne boive pas son sang rapidement, elle colla son poignet contre mes lèvres et m'intima de boire une nouvelle fois. Après tout, je lui avais déjà filé mon épée, elle aurait pu me tuer mille fois. Je bus donc son sang avec un frisson de dégout, parce que c'est franchement pas terrible le sang, vampire ou non. Mais la blessure se referma rapidement. Je dois dire que je flippais carrément et que je commençais à me dire que les belles femmes étaient à éviter. C'est à ce moment là qu'elle sortit ses putain de crocs et qu'elle sauta sauvagement sur ma carotide. J'ai même pas hurlé, et oui, j'en suis sacrément fier, parce que ça fait TRES mal. Pas comme quand on se coupe à la main, vous voyez. Plus comme quand on est mordu par un requin. Enfin je pense, parce que je me suis jamais fait mordre par un requin. Ensuite elle a pompé mon sang jusqu'à la dernière goutte, j'étais dans ses bras, en train d'agoniser comme le pauvre con que j'étais. Bof, au moins, je mourrais avec une jolie vision dans mon esprit. Bref, je suis mort. Fin de l'Histoire.
Non, je rigole ! Il reste encore la partie où je massacre plein de gens, où je baise plein de filles, où je suce le sang de milliers de personnes et où je vis de GRANDES choses comme ça ! Et ça commence maintenant.
Je me suis réveillé avec une faim de loup. Oui, je me suis réveillé, c'est ça l'élément clef de ma phrase. J'étais mort et ressuscité comme votre Jésus, ça devait être un vampire lui aussi ! J'aurais pu dévorer une vache. Ou plus.. Boire des litres de vin. Ou de sang. Comme la femme qui m'avait transformé et qui était toujours à mes côté, elle n'avait pas salie sa robe ni son visage d'ange et elle me souriait.

- Bienvenue parmi les morts Stollvor.

En plus elle savait mon nom. J'avoue que sur le coup je l'ai détestée. Après tout, elle m'avait quand même assassiné ! J'avais SOIF. Je devais me NOURRIR. Je me suis donc relevé et nous sommes allés ensemble jusqu'à mon village. La femme avait accouché, je n'entendais plus ses cris. Je me suis approché de la maison de ma mère. Tout était éteins, elle dormait. Je suis entré, ma créatrice sur les talons, et je l'ai sucée avec ma main sur sa bouche jusqu'à ce qu'elle se dessèche comme un cadavre. C'est en contemplant mon oeuvre que j'ai compris que j'avais tué la seule personne qui m'avait un tant soit peu aimé dans ma vie. Une larme roula sur ma joue. Mais merde ! Les vikings ne pleurent pas. Non, je rigole. Pour vous dire la vérité on était un peuple plutôt sensible. On faisait la guerre comme des lions certes, mais on rendait rapidement la liberté à nos esclaves, on donnait de l'importance à nos femmes, on respectait la vie humaine, on haïssait le viol et le meutre. Mais bon, on aime bien montrer qu'on est forts quand même. Tout ça pour dire que j'ai essuyé cette maudite larme rapidement pour que la jolie femme ne la voit pas. Et j'ai commencé à me déplacer à une vitesse.. Satisfaisante. (A la vitesse d'un train pour être précis) J'ai massacré et sucé tout le monde. Même le bébé. D'ailleurs son sang était délicieux. Mais bon, je suis un être gentil, je n'en ai pas fait une habitude, je peux encore faire baby-sitter pour votre enfant !
Après avoir parsemé le village de cadavres, ma belle inconnue me raconta quelques petites choses sur elle et sur les vampires en général, par exemple que le soleil me brulerai si je n'avais pas la même bague ou le même collier qu'elle. Sauf que moi les bagues, c'est pas trop mon truc. Et son collier, c'est vraiment un collier de fille quoi. J'ai regardé le bracelet que j'avais au poignet et lui ai demandé si celui-ci ne pourrait pas faire l'affaire avec un lapi-lazuli. Elle m'a alors demandé de le lui donner. Ce que j'ai fait sans hésiter. Sauf qu'elle me l'a pas rendu (là j'étais un peu énervé parce que j'adorais ce putain de bracelet !). Elle m'a dit d'aller m'enterrer (OUAIS m'enterrer !) sous terre pour éviter de cramer parce que le soleil allait bientôt se lever. Comme brûler vif ne m'avait jamais parut être une mort assez violente (C'est pour les femmelette !), je décidais de suivre son conseil. Le lendemain, elle me rendit mon bracelet avec un lapis lazuli incrusté dedans. J'étais surpris mais très content. Elle avait troqué sa robe rouge contre une autre de la même couleur mais plus décolletée. Mon père était rentré le soir même. Ils avaient été surpris par une tempête et avaient préféré rentrer (elle devait être très, très, très, très, très, très violente.)
Je les ai tous butés. Ouaip. Ma soeur aussi, elle je l'ai étranglée. Pour lui montrer que j'étais bien plus fort qu'elle, héhé. Je ne suis absolument pas sadique, c'est une illusion. Bref, après ce massacre très sanglant qui n'avait absolument pas ébranlé ma santé mentale, comme vous pouvez le constater, nous sommes partis. Parce que bon, vivre dans un village où tous le monde est mort est git par terre, ça va bien pendant un heure et ensuite ça commence à schlinguer le rat mort.
On a tout fait ensemble. Elle m'a emmené partout où je voulais aller, elle a cédé à tous mes caprices (ou presque). Allegria c'était ma mère, ma soeur, ma fille, ma maitresse (dans tous les sens du terme), elle était tout pour moi. C'est elle qui m'a créé, c'est elle qui m'a forgé comme je forgeais autrefois l'acier. Elle m'a tout appris, elle m'a tout montré. Cette femme est tout pour moi, et l'amour que je lui porte est éternel. Bref, après 500 ans de vie commune, on a décidé de se séparer quelque peu, je partais parfois pendant plusieurs mois en expédition seul, pour voir un peu le monde de mes propres yeux, puis je revenais vers elle. Toujours.
Et un jour je suis parti pendant longtemps. J'ai passé plus de 300 ans sans la voir. Pendant ce temps j'ai... Fait plein de bêtises, comme d'habitudes. Je me suis même fait un ami humain, qui est mort aussi rapidement que si je m'étais fait un ami papillon. Je suis revenu vers elle et on a repris une certaine routine, je partais pendant plusieurs années, parfois des dizaines d'années puis je revenais et on vivait des tas de choses ensemble. On a traversé les époques.
Sur ce, écrire son histoire entière quand on a plus de mille ans sur un bout de papier c'est carrément chiant donc vous n'aurez qu'à venir me voir si vous en voulez plus (quoique ce n'est pas sur que je vous la raconte, vous avez été sages ?) je viens d'arriver dans votre vieille ville moisie pour retrouver Allegria.

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